Skip to main content

Chaque année en septembre se déroule la Semaine européenne de la mobilité. L’objectif de cette action est de promouvoir les modes de transport durables. Une occasion idéale pour réfléchir à nos habitudes de déplacement et envisager des alternatives moins polluantes.

Avec cet article, nous débutons une série consacrée à cette thématique en vous présentant le quotidien d’Arnaud Caraty, responsable de projets CVC senior chez Planair. Passionné de vélo et fervent défenseur de la mobilité durable, Arnaud incarne parfaitement l’esprit de cette semaine dédiée à la mobilité durable.

Nous vous invitons à découvrir son parcours quotidien à vélo, un choix qui allie efficacité, économie et bien-être.

Le vélo au cœur d’un équilibre familial et professionnel

Après avoir déposé ses enfants à l’école, Arnaud enfourche son vélo électrique pour parcourir les 12 km qui le séparent de son lieu de travail. En une trentaine de minutes, il longe le lac et profite d’un trajet qui combine efficacité, activité physique et parenthèse mentale.

Pour lui, le vélo n’est pas seulement un mode de transport : c’est un moment pour souffler, réfléchir, et parfois relativiser les tensions de la journée.

Entre plaisir et contraintes

Arnaud roule toute l’année, quelles que soient les conditions météo, sauf en cas de neige ou de verglas. Sa routine se base sur une préparation minutieuse : casque intégral, gilet airbag, kit de dépannage, gants adaptés aux saisons et vêtements de pluie.

Ces précautions sont nécessaires, car la pratique en ville n’est pas sans risques. Arnaud en a fait l’expérience : voitures, trottoirs, piétons ou encore autres cyclistes peuvent transformer un trajet anodin en véritable défi.

Conseils pour celles et ceux qui veulent se lancer

Arnaud recommande d’analyser ses trajets actuels : certains déplacements en voiture ou en transports publics peuvent facilement être remplacés par le vélo, notamment en zone urbaine et périurbaine. Le mot d’ordre : transitionner de manière progressive.

Le choix du vélo et des équipements est également essentiel : une batterie suffisamment puissante, des vêtements adaptés et un itinéraire bien planifié font toute la différence.

Des bénéfices économiques et personnels

À Genève, où les embouteillages sont quotidiens, le vélo se révèle un gain de temps considérable. Là où la voiture exige jusqu’à une heure, Arnaud parcourt son trajet en moins de 30 minutes.
Résultat : moins de pollution, plus d’argent économisé, et une activité physique régulière, indispensable pour sa santé et son bien-être.

Un choix durable, mais pas universel

Arnaud est lucide : tout le monde ne peut pas opter pour le vélo au quotidien. La dangerosité du trafic, la météo et les contraintes familiales ou professionnelles sont des freins bien réels.
Pour lui, ce mode de transport est parfaitement adapté aux trajets courts et urbains, mais pas à l’ensemble des déplacements.

La suite de la série

Le témoignage d’Arnaud nous montre que pédaler n’est ni un sacrifice ni une contrainte, mais un choix éclairé, bénéfique à la planète comme au quotidien de celles et ceux qui le pratiquent.

Dans notre prochain article, nous irons à la rencontre de 4 collaborateur·rice·s de Planair dont les habitudes de déplacement affichent un très faible impact carbone.

Leurs expériences viendront enrichir la réflexion collective autour de la mobilité durable.

À bientôt !